L'histoire de la colonisation des Etats-Unis nous apprend qu'à l'arrivée des colons européens, il n'y avait « rien » d'autre que des Amérindiens. Cependant, au-delà de ce récit officiel, une question persiste : comment des bâtiments gigantesques ont-ils vu le jour à travers l'Ouest, alors que la technologie de l'époque semble insuffisante pour de telles réalisations ? Lire la suite
La consanguinité, souvent perçue à travers le prisme des risques génétiques, a pourtant joué un rôle clé dans l’histoire des dynasties royales. Des mariages stratégiques, comme ceux orchestrés par la reine Victoria, ont consolidé pouvoir et richesses, malgré des conséquences médicales parfois tragiques. Entre tabous culturels et réalités historiques, cette pratique révèle une complexité méconnue.
Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole et pauvre. Aujourd’hui, elle est une puissance économique et militaire majeure. Cette ascension rapide est liée, selon certains journalistes d’investigation, à des acteurs comme les Rothschild, Rockefeller et l'organisation secrète Skull & Bones.
Skull & Bones, fondée par les Rothschild et financée par les Rockefeller, a infiltré les grandes institutions américaines. Cette élite vise un « nouvel ordre mondial » où le pouvoir est concentré entre les mains de quelques-uns.
Au début du 20e siècle, Skull & Bones a créé des écoles en Chine via l’association Yale-in-China, financée par Rothschild et Rockefeller. Selon le Yale Daily News, « sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l'inconnu au pouvoir ».
Durant la guerre civile chinoise (1927-1949), le général américain George C. Marshall, lié à Skull & Bones, a cessé d’armer le Kuomintang, favorisant ainsi la victoire des communistes.
Les presque 30 années de règne de Mao Tsé-toung ont été marquées par une terreur sans précédent. Avec des campagnes telles que le « Grand Bond en avant » et la « Révolution culturelle », Mao a imposé une transformation forcée de la société chinoise. La « Révolution culturelle » visait à détruire les anciennes coutumes et modes de pensée, coûtant la vie à 2 à 5 millions de personnes.
Le « Grand Bond en avant » devait moderniser la Chine pour rivaliser avec les nations industrialisées. Malgré une grande famine, Mao a maintenu ses objectifs avec une brutalité extrême. Selon le journaliste Alexander Schnarf, des milliers de personnes furent torturées et assassinées. L’historien Frank Dikötter estime que la famine (1959-1961) a causé au moins 45 millions de morts.
La politique de Mao était simple : toute opposition était éliminée, muselant ainsi la société chinoise. David Rockefeller a pourtant qualifié cette oppression d’« expérience sociale », déclarant : « L’expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l'une des plus importantes et des plus réussies de l’histoire de l’humanité ». Cela révèle les objectifs cachés des fondations Rockefeller, qui considéraient la Chine comme un laboratoire pour le contrôle social.
Après Mao, Deng Xiaoping a dirigé la Chine jusqu’en 1997. L’ascension économique de la Chine a été amorcée par la rencontre de 1972 entre Nixon et Mao, orchestrée par Henry Kissinger, membre du CFR et allié des Rothschild et Rockefeller. Cet accord a permis un afflux massif d'argent et de technologies occidentales en Chine.
En 1982, les Rothschild ont pris le contrôle de la banque centrale chinoise, tandis que la Chase Manhattan Bank de Rockefeller représentait la Banque de Chine aux États-Unis. Des multinationales comme Ford, General Motors, IBM et Microsoft, liées au CFR, ont participé à cette expansion économique.
Le professeur Antony C. Sutton écrivait déjà en 1986 : « Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une superpuissance construite avec la technologie et l’expertise américaines ».
Deng Xiaoping et ses successeurs, dont Xi Jinping, sont liés aux super-loges maçonniques comme « THREE EYES », fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger. Ces élites œuvrent à l’établissement d’un « gouvernement mondial unique ». Ainsi, la Chine reste un outil fiable pour les plans mondialistes des Rothschild et des Rockefeller.
Mais la Chine n'est pas seulement un outil quelconque. Elle est devenue le fer de lance des Rothschild, Rockefeller et de Skull & Bones, qui aspirent à un nouvel ordre mondial de contrôle et de surveillance totaux. En voici quelques exemples :
Le premier système de crédit social en Europe a déjà été introduit à Bologne (Italie), et la Commission européenne prépare également son implantation.
Toutes ces actions montrent clairement qu’après le succès de leur « expérience sociale » en Chine, les Rockefeller, Rothschild et consorts souhaitent désormais étendre ce modèle au monde entier, jetant ainsi les bases d'une dictature mondiale. Lors du Davos d'été 2023 du Forum Économique Mondial, le Premier ministre chinois Li Qiang a déclaré que la « sécurité » devait devenir la priorité absolue.
La Réserve fédérale (FED) est la banque centrale des États-Unis. Elle a été créée en décembre 1913 par le Federal Reserve Act, également connu sous le nom d'Owen-Glass Act, en réponse à plusieurs crises bancaires, dont la panique bancaire américaine de 1907.
Depuis sa création, le rôle de la FED a évolué et s'est adapté aux défis économiques. Par exemple, son indépendance s'est renforcée lors des instabilités monétaires des années 1975 et 1985, lui permettant de prendre des décisions politiques sans ingérence directe du gouvernement.
Le fonctionnement de la FED repose sur le système de réserve fractionnaire. Ce système, bien que légalisé, est souvent critiqué pour permettre la création de monnaie sans contrepartie réelle, une pratique que certains qualifient de "contrefaçon légalisée".
Ce mécanisme permet à la FED de créer une grande quantité d'argent, ce qui peut entraîner une inflation ou dévaloriser le pouvoir d'achat des citoyens. Pourtant, ces pratiques se déroulent sous les yeux du public, et peu de gens en comprennent réellement les implications.
Bien que les opérations de la FED soient transparentes, leur complexité rend difficile la prise de conscience par le grand public. Ce phénomène a conduit certains experts à parler d'un "crime parfait", car il est perpétré de manière visible, mais reste souvent ignoré.
Face à cette situation, il est essentiel d'améliorer l'éducation financière pour permettre aux citoyens de mieux comprendre les politiques économiques et leur impact sur leur vie quotidienne.
Depuis mai 2019, Volodymyr Zelensky est président de l'Ukraine. Il est connu dans le monde entier pour avoir réclamé sans relâche des armes pour son pays afin de tenir tête à la Russie. Seules des armes supplémentaires peuvent garantir la paix en Europe !
Que se passe-t-il exactement ? Comment Zelensky est-il passé du statut d'acteur à celui de président et de chouchou des médias occidentaux ? Qui ce "serviteur du peuple" autoproclamé sert-il vraiment ?
Zelensky a étudié le droit. En 1997, il a fondé le groupe de cabaret Kwartal 95. Quelques années seulement avant son élection à la présidence, il apparaît sur la chaîne de télévision populaire 1+1 dans la série télévisée satirique "Serviteur du peuple". Zelensky y incarne un professeur d'histoire qui devient inopinément président de l'Ukraine et gouverne le pays en "luttant contre la corruption". À la fin de la série, Zelensky sauve l'Ukraine de la faillite et unifie le pays.
Fin 2016, le film éponyme "Serviteur du peuple" a suivi et en 2017, un parti du même nom a été enregistré. Zelensky annonce sa candidature à l'élection présidentielle le soir du Nouvel An 2018 sur la chaîne de télévision 1+1. Il se présente comme un "combattant de la corruption". Après avoir construit son image de combattant anti-corruption dans les médias, une population en crise l'élit président en 2019.
Florian Hassel, rédacteur en chef de la Süddeutsche Zeitung, considérait à l'époque l'ascension de Zelensky comme l'expression du "Le système ukrainien malade n'a été possible que parce que les médias ukrainiens sont dominés par des oligarques qui déterminent qui peut ou ne peut pas accéder à leurs chaînes de télévision." Pourquoi un tel manque d'enthousiasme ?
Zelensky s'est fait un nom en tant que "Zizi Pianiste", qui - désolé - joue soi-disant du piano en public avec son meilleur organe. Il a également dansé dans un spectacle vulgaire en talons aiguilles et en cuir. Certains y voient une moquerie de la danse traditionnelle cosaque.
Zelensky a cofondé à partir de 2012 un réseau de sociétés offshore [sociétés offshore : Transfert du siège social à l'étranger pour éviter de payer des impôts] à Chypre, au Belize et dans les îles Vierges britanniques, dont la société "Maltex". Par le biais de ces sociétés, des millions de dollars ont été déplacés et cachés aux autorités fiscales. Deux semaines avant le premier tour des élections présidentielles, les conditions de propriété de "Maltex" ont soudainement changé. Les actions précédemment détenues par Zelensky et son épouse Olena ont été transférées gratuitement à l'entrepreneur Serhij Schefir, un partenaire proche de Zelensky. Cette transaction est interprétée comme une tentative de Zelensky de dissimuler des actifs illégaux avant les élections présidentielles.
En mai 2020, le Süddeutsche Zeitung (SZ) rapporte que Zelensky est décevant : La guerre et la corruption continuent de dominer la situation dans le pays. Après un an de mandat, il semble évident que Zelensky ne peut pas tenir ses promesses".
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Titanic - Pour le 111e anniversaire du naufrage, Kla TV ouvre ce documentaire sur ce que cette chaîne appelle "un attentat". Voyez par vous-même pourquoi… en moins de 6 minutes.
Il y a 111 ans, le Titanic, le plus grand navire de l'époque, sombrait lors de son voyage inaugural après avoir heurté un iceberg. Sur plus de 2 200 personnes à bord, 1 514 ont perdu la vie. Ce naufrage fait partie des catastrophes maritimes les plus connues, souvent présenté comme un accident dans les médias.
Mais les "faits", qui semblent plaider en faveur d'un accident, sont-ils prouvés de manière irréfutable ? Et si cette version n'était qu'une construction propagée pendant plus de 100 ans par la littérature, le cinéma, la télévision et les médias ? Nous devons nous interroger sérieusement sur cette question.
Des experts et analystes méticuleux affirment que le naufrage du Titanic était en réalité un attentat planifié de longue date.
Dans son livre "Das Titanic Attentat", le journaliste Gerhard Wisnewski présente des preuves convaincantes que le naufrage du Titanic était un acte intentionnel. Ce livre explore également les motivations derrière cet attentat, et les cibles visées : des magnats de la finance et des opposants à un plan financier mondial.
Une des questions clés : pourquoi un grand nombre de banquiers influents se trouvaient-ils à bord du Titanic et pourquoi ont-ils tous péri, tandis que J.P. Morgan, le principal financier, échappait à la catastrophe ? Cette question soulève d'importantes préoccupations sur les véritables causes du naufrage.
La réponse pourrait résider dans une conspiration visant à créer une nouvelle structure économique mondiale. Après le naufrage, la privatisation du système bancaire américain, menée par des banquiers privés à travers la création de la Réserve fédérale, a marqué un tournant financier majeur.
De nos jours, la domination des banques privées sur l'économie mondiale continue, alimentée par des dettes imposées à tous les États. Cela a conduit à une situation où les nations sont contrôlées par une élite financière internationale.
Cette mafia financière a progressivement pris le contrôle des ressources naturelles, des infrastructures et des États, manipulant l'économie mondiale à son profit. Ce système global de domination reste largement invisible aux yeux du grand public.
L'attaque du Titanic et l'introduction du système bancaire privé ont créé les bases du monde que nous connaissons aujourd'hui. Et cette dynamique continue avec des menaces telles que le "Grand Reset", soutenu par des figures comme Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial (FEM), dont le slogan est : "Vous n'aurez rien, mais vous serez heureux".
Cette situation révèle les véritables forces en jeu et la nécessité d'une prise de conscience collective. Face à cette domination mondiale, il est impératif de réclamer justice et de réexaminer les événements historiques sous un autre angle.
Il est temps d'agir et de faire éclater la vérité. Le "printemps de la vérité" est en marche, et de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer cette injustice.
Le gouvernement ukrainien, dirigé par Volodymyr Zelensky, utilise l'argent des contribuables américains pour payer cher le carburant diesel dont l'armée ukrainienne a besoin pour continuer à se déplacer dans sa guerre contre la Russie. On ne sait pas combien le gouvernement Zelensky paie par gallon pour le carburant, mais le Pentagone payait jusqu'à 400 dollars par gallon pour transporter de l'essence depuis un port du Pakistan, par camion ou par parachute, jusqu'en Afghanistan pendant la guerre américaine qui a duré des décennies.
On ignore également que Zelensky a acheté le carburant à la Russie, pays avec lequel il est en guerre avec Washington, et que le président ukrainien et de nombreux membres de son entourage ont détourné des millions de dollars américains destinés au paiement du carburant diesel. Selon une estimation des analystes de la CIA, les fonds détournés s’élèveraient au moins à 400 millions de dollars l’an dernier ; un autre expert a comparé le niveau de corruption à Kiev à celui de la guerre en Afghanistan, « même si aucun rapport d’audit professionnel ne sortira d’Ukraine ».
« Zelensky achète du diesel à prix réduit aux Russes », m’a confié un responsable du renseignement américain bien informé. « Et qui paie l’essence et le pétrole ? C’est nous. Poutine et ses oligarques gagnent des millions » grâce à cela.
De nombreux ministères de Kiev se livrent littéralement à une « concurrence », m’a-t-on dit, pour créer des sociétés écrans pour des contrats d’exportation d’armes et de munitions avec des marchands d’armes privés du monde entier, qui versent tous des pots-de-vin. Beaucoup de ces sociétés sont situées en Pologne et en Tchéquie, mais on pense qu’il en existe d’autres dans le Golfe persique et en Israël. « Je ne serais pas surpris d’apprendre qu’il y en a d’autres dans des endroits comme les îles Caïmans et le Panama, et que de nombreux Américains y sont impliqués », m’a dit un expert américain du commerce international.
La question de la corruption a été directement évoquée avec Zelensky lors d’une réunion en janvier dernier à Kiev avec le directeur de la CIA, William Burns. Son message au président ukrainien, m’a dit un responsable des services de renseignement ayant une connaissance directe de la réunion, était tout droit sorti d’un film de mafia des années 1950. Les généraux et les responsables du gouvernement de Kiev étaient en colère contre ce qu’ils considéraient comme la cupidité de Zelensky, et Burns a déclaré au président ukrainien que « celui-ci prenait une part plus importante de l’argent de la fraude que celle qui revenait aux généraux ».
Burns a également présenté à Zelensky une liste de trente-cinq généraux et hauts fonctionnaires dont la corruption était connue de la CIA et d’autres membres du gouvernement américain. Zelensky a répondu à la pression américaine dix jours plus tard en limogeant publiquement dix des fonctionnaires les plus ostentatoires de la liste et en ne faisant rien d’autre. « Les dix dont il s’est débarrassé se vantaient effrontément de l’argent qu’ils avaient – ils se promenaient à Kiev dans leur nouvelle Mercedes », m’a dit le responsable du renseignement.
Source
vidéo ITV, source: textes de Dontell Jackson - "We thought they were white"
Dontell Jackson est un auteur dont les écrits ont suscité de nombreuses controverses en raison de leurs affirmations sur l'implication des Juifs dans divers aspects de l'histoire américaine, notamment les mouvements pour les droits civiques et l'industrie du divertissement. Ses textes explorent des théories du complot qui lient les Juifs à des manipulations derrière des événements historiques clés et des institutions sociales.
Les textes de Jackson posent des questions provocatrices sur le rôle des Juifs dans des mouvements importants comme le mouvement des droits civiques et leur influence dans les médias et l'industrie du divertissement. Il avance que ces influences juives ont été des facteurs majeurs dans la structuration et la direction de ces mouvements, souvent en présentant ces assertions comme des révélations de conspirations bien orchestrées. Cependant, ces revendications sont entourées de nombreuses controverses et manquent souvent de preuves substantielles.
L'objectif de cet article est de fournir une analyse critique des revendications faites par Dontell Jackson. Nous examinerons les faits historiques sous-jacents à ses affirmations, vérifierons l'exactitude des informations fournies et discuterons des implications de ces théories. Nous viserons à clarifier la réalité historique par rapport aux allégations de Jackson, en mettant en lumière les erreurs et les biais présents dans ses textes. En démystifiant ces théories du complot, nous chercherons à comprendre comment elles ont influencé les perceptions historiques et intercommunautaires, tout en soulignant l'importance de baser l'analyse historique sur des preuves vérifiées et des sources fiables.
Le Mouvement pour les droits civiques, qui a pris son essor principalement dans les années 1950 et 1960, visait à mettre fin à la ségrégation raciale et à promouvoir l'égalité des droits pour les Afro-Américains. Dirigé par des figures emblématiques telles que Martin Luther King Jr., Malcolm X, et d'autres leaders noirs, ce mouvement a cherché à abroger les lois discriminatoires et à obtenir des droits civiques égaux pour tous les citoyens américains.
Des organisations clés ont joué un rôle crucial dans ce mouvement, comme la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP), la Southern Christian Leadership Conference (SCLC), et le Student Nonviolent Coordinating Committee (SNCC). Ces groupes ont organisé des manifestations, des sit-ins, et des campagnes de sensibilisation pour attirer l'attention sur les injustices raciales et pousser à des changements législatifs.
Historiquement, des Juifs américains ont été impliqués dans le soutien aux droits civiques. Des figures comme Joel Spingarn, Lillian Wald, et Stephen Wise ont joué un rôle significatif dans la création et le financement d'organisations pour les droits civiques. Par exemple, Julius Rosenwald, un philanthrope juif, a contribué à la construction de nombreuses écoles pour les Afro-Américains dans le Sud des États-Unis. Ces contributions ont souvent été cruciales pour le financement et la croissance des institutions éducatives et sociales qui ont soutenu le mouvement.
Depuis les débuts du cinéma et du divertissement aux États-Unis, les Juifs ont eu une influence notable dans ces industries. Des noms comme les frères Warner (Harry, Albert, Sam, et Jack Warner) ont fondé Warner Brothers, un studio qui a joué un rôle majeur dans le développement de l'industrie cinématographique. De plus, des artistes comme Al Jolson ont marqué l'histoire du divertissement, notamment par l'utilisation du blackface dans les spectacles de vaudeville et les premiers films parlants.
Les contributions des Juifs à l'industrie du divertissement ont été variées, allant de la production de films et de spectacles à la gestion de théâtres et à la distribution de contenu. Cette présence a souvent été perçue comme un élément central dans la structuration des médias et des représentations culturelles aux États-Unis.
Les écrits de Dontell Jackson affirment que les Juifs ont manipulé les mouvements sociaux et les industries culturelles pour servir leurs propres agendas, souvent au détriment des intérêts afro-américains. Selon Jackson, cette manipulation aurait pour but de créer des divisions et de promouvoir des objectifs spécifiques au sein de la société américaine.
Cependant, ces affirmations sont souvent critiquées pour leur manque de fondement factuel solide et pour leur tendance à promouvoir des théories du complot. Il est essentiel d'examiner ces assertions à la lumière des faits historiques documentés et des contributions réelles des individus et des groupes concernés, afin de séparer la réalité de la spéculation.
Les contributions des Juifs aux mouvements pour les droits civiques ont été significatives et documentées. Des philanthropes juifs comme Julius Rosenwald ont financé la construction d’écoles pour les Afro-Américains, et des figures comme Joel Spingarn ont joué des rôles clés dans des organisations comme la NAACP. Cette implication peut être vue comme une extension de l'engagement social et des valeurs de justice sociale partagées par de nombreux Juifs américains.
Cependant, il est important de souligner que le soutien des Juifs aux droits civiques ne doit pas être interprété comme une manœuvre pour manipuler ou contrôler le mouvement. L'engagement de nombreux individus et groupes de diverses origines ethniques dans le mouvement pour les droits civiques démontre un large soutien et une solidarité pour la justice et l'égalité.
Il est bien documenté que les Juifs ont joué un rôle central dans la création et le développement de l'industrie du divertissement, notamment à travers des studios de cinéma et des productions théâtrales. Les frères Warner, par exemple, ont été des pionniers du cinéma parlant. L'influence des Juifs dans ce domaine peut être attribuée à leur présence significative dans ces industries naissantes, plutôt qu'à une volonté de manipuler la culture ou les représentations sociales pour un agenda particulier.
Il est également essentiel de reconnaître que l'industrie du divertissement est vaste et diversifiée, et que le succès de ces studios et productions n'a pas été le résultat d'une seule influence ou d'une motivation cachée, mais plutôt d'une série de facteurs économiques, culturels et sociaux complexes.
Les affirmations de Dontell Jackson suggèrent une manipulation délibérée des mouvements sociaux par des intérêts juifs. Cependant, ces théories sont souvent basées sur des interprétations partiales ou erronées des faits historiques. Les théories du complot peuvent simplifier des dynamiques complexes et minimiser l'impact des véritables contributions et motivations des personnes impliquées.
Il est important d'examiner ces affirmations avec un regard critique, en prenant en compte les preuves historiques et en évitant les généralisations excessives. Les contributions des Juifs aux droits civiques et à l'industrie du divertissement doivent être contextualisées dans un cadre plus large de l'histoire sociale et culturelle américaine, sans présumer d'intentions malveillantes ou de manipulations cachées.
Les affirmations selon lesquelles les Juifs auraient manipuler les mouvements sociaux et culturels peuvent alimenter des sentiments antisémites et des théories du complot. Une analyse équilibrée et fondée sur des preuves est nécessaire pour éviter la propagation de stéréotypes nuisibles et pour promouvoir une compréhension plus nuancée de l'histoire sociale et culturelle des États-Unis.
Il est crucial de distinguer entre les faits vérifiables et les hypothèses non fondées. Une approche basée sur des recherches rigoureuses et une analyse objective des données historiques contribuera à une discussion plus éclairée et à une meilleure compréhension des contributions diverses dans les mouvements sociaux et les industries culturelles.
Le soutien des Juifs aux droits civiques ne peut être compris pleinement sans un aperçu du contexte historique dans lequel ces contributions se sont produites. Au début du 20e siècle, de nombreux Juifs américains étaient confrontés à leurs propres défis de discrimination et d'antisémitisme, ce qui a renforcé leur empathie envers d'autres groupes marginalisés, y compris les Afro-Américains. Ce contexte a souvent motivé leur engagement dans les mouvements pour les droits civiques.
Des figures comme Julius Rosenwald ont investi dans des initiatives éducatives pour les Afro-Américains dans le Sud, une région marquée par une profonde ségrégation raciale. L’implication juive dans ces efforts peut être vue comme une réponse à la fois aux injustices raciales et à des préoccupations éthiques et humanitaires communes.
L'influence juive dans l'industrie du divertissement est également le produit d'un contexte historique particulier. À l’époque de l’essor du cinéma, les Juifs étaient largement exclus des grandes industries établies, ce qui les a poussés à créer leurs propres entreprises. Les frères Warner et d’autres figures juives ont ainsi joué un rôle crucial dans l’industrialisation du divertissement, non seulement en raison de leurs compétences et de leur perspicacité commerciale, mais aussi parce qu’ils ont saisi les opportunités offertes par un secteur en pleine expansion.
Le fait que ces studios aient produit des films avec des représentations variées des Afro-Américains reflète la complexité et les contradictions de l'époque. Les stéréotypes raciaux dans certains films peuvent être vus comme des produits de leur temps, influencés par les attitudes sociétales dominantes, mais ils ne doivent pas effacer les contributions positives de ces studios à la culture américaine.
Les théories du complot qui prétendent que des groupes spécifiques, tels que les Juifs, manipulent des mouvements sociaux pour atteindre des objectifs cachés, sont souvent ancrées dans des idées préconçues et des préjugés. Elles simplifient des événements complexes et peuvent exacerber des tensions intergroupes.
Il est essentiel de replacer ces théories dans un cadre plus large d'analyse critique. Une perspective historique rigoureuse permet de mieux comprendre les dynamiques sociales et politiques sans recourir à des explications simplistes. Les contributions juives aux mouvements sociaux et culturels doivent être évaluées dans le contexte de leurs actions, motivations et des réalités sociétales de leur époque.
Une analyse nuancée des contributions juives et de leur influence sur les mouvements sociaux et culturels peut aider à promouvoir une meilleure compréhension des relations interethniques. En examinant les contributions des Juifs aux droits civiques et au divertissement sous un angle historique et contextuel, on peut éviter de réduire ces contributions à des conspirations ou à des intentions malveillantes.
Encourager une compréhension approfondie et respectueuse des contributions diverses peut favoriser un dialogue plus constructif et aider à construire des ponts entre les communautés. Il est crucial de reconnaître et de valoriser les efforts de collaboration et de solidarité entre différents groupes dans la quête de justice sociale et culturelle.
Depuis la Seconde Guerre mondiale, une version prédominante de l'histoire a émergé, favorisant une narration qui met en avant les perspectives des vainqueurs et des groupes dominants. Cette tendance a influencé la manière dont les événements historiques sont interprétés et enseignés, souvent en minimisant ou en excluant les perspectives divergentes.
Les affirmations selon lesquelles les stratégies juives ou sionistes auraient joué un rôle central dans les mouvements sociaux ou politiques sont souvent rejetées comme inconcevables dans la version dominante de l'histoire. Cette tendance est particulièrement marquée dans le contexte occidental, où les discussions critiques sur ces sujets sont souvent censurées ou considérées comme antisémites.
En France et ailleurs, la censure de toute discussion critique sur les actions et les stratégies des communautés juives ou sionistes reflète un désir de maintenir une certaine version de l’histoire qui préserve des intérêts établis. Ce phénomène contribue à la marginalisation des perspectives alternatives et à la consolidation d'une narration unique, qui est parfois perçue comme étant plus favorable ou plus stratégique pour les groupes dominants.
Depuis la Seconde Guerre mondiale, toute critique des actions ou des stratégies des communautés juives ou sionistes est souvent confrontée à une censure sévère. Cette tendance est visible en France, où les discussions sur ces sujets sont régulièrement réprimées et condamnées.
Le rejet systématique des perspectives alternatives contribue à maintenir un monopole sur la narration historique. Ce phénomène empêche un débat ouvert et honnête, favorisant une version de l’histoire qui sert les intérêts des groupes dominants tout en étouffant les voix dissidentes.
Selon Dontell Jackson, les médias et l'industrie du divertissement ont été historiquement dominés par des individus et des entreprises juives. Cette domination, visible depuis l'époque du vaudeville et du cinéma muet, a permis à cette communauté de façonner les perceptions publiques et d'influencer les narrations culturelles.
Jackson affirme que cette influence a contribué à la propagation de stéréotypes et à la marginalisation des points de vue alternatifs. Les productions médiatiques ont souvent renforcé des perceptions préexistantes tout en contrôlant les représentations des événements historiques et des figures culturelles.
Jackson cite des exemples comme Al Jolson, connu pour ses performances en blackface, pour illustrer comment l'industrie du divertissement a exploité et amplifié des représentations problématiques. De plus, les studios juifs, tels que Warner Brothers, auraient utilisé leur pouvoir pour promouvoir des narrations favorables à leurs agendas politiques, souvent au détriment d'une représentation équilibrée.
Un certain Raël en parlait... Depuis il a créé son paradis au Canada qui lui a accordé quelques km2. Des années sont passées et il a effectivement mis au jour ses recherches sur le clonage, donnant naissance à CloneAid.
Ce que l'on sait c'est que les Etats-Unis et le Canada, pas que mais principalement, sont sous l'influence du programme MK Ultra qui en gros a pour but le contrôle des êtres par différentes techniques qui dépassent l'imagination... Nous éviterons de parler de MK ultra car c'est un long sujet.
A mon avis, le clonage du corps humain se limitera à de riches privilégiés. Cela se fera de manière cachée on l'imagine. Les autres se limiteront au contrôle mental, les technologies d'aujourd'hui peuvent prendre le contrôle de nos pensées et nous faire croire que l'on est cloné, mieux, libre ou tout autre pensée.
Une date est souvent répétée: l'année 2030. C'est l'année où l'Union européenne veut inaugurer son nouveau modèle de société, où tout est digital, tout est connecté.
2030 c'est aussi l'année du lancement du projet Neom en Arabie Saoudite qui consiste à créer une ville futuriste comme jamais vu, en plein désert aride...
Enfin, la Chine a cette date comme objectif pour son expansion mondiale.
Nous allons entendre que toute cette technologie nous sera bénéfique, notre confort amélioré, la vie sera plus belle etc... Même la médecine se connectera à nous et nous subiront des mises à jour.
Cela relève aujourd'hui de la superstition, je vous prie de le prendre ainsi mais en ayant tout de même une oreille avertie si ce n'est pas encore le cas. Ce système est en train de se mettre en place petit à petit et c'est mondial !!
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Une vidéo virale d’un médecin américain, Dr. Thomas Cowan, prétend que la pandémie de COVID-19 aurait été causée par la technologie 5G. Ces affirmations, bien que largement partagées, sont controversées et ont été qualifiées de fausses par les virologues. Selon Dr. Cowan, les virus seraient des déchets issus de cellules empoisonnées par des champs électromagnétiques, une théorie inspirée des idées de Béchamp et des microzymas.
Dr. Cowan, médecin américain en probation disciplinaire, est connu pour ses positions controversées contre la médecine conventionnelle. Il est l’auteur de livres critiquant la vaccination et a participé à des conférences regroupant des opposants aux vaccins, comme le chercheur discrédité Andrew Wakefield. Cependant, sa théorie liant la 5G à la propagation du virus a été largement contestée par les experts.
Jason Kindrachuk, virologue et titulaire de la chaire de recherche canadienne sur les virus émergents, rejette catégoriquement ces affirmations. Selon lui, les virus ne sont pas de simples « débris », mais des entités biologiques complexes jouant un rôle clé dans les maladies infectieuses. Pourtant, certaines expérimentations suggèrent que la technologie 5G pourrait avoir des effets sur les êtres vivants, tels que des maux de tête, des troubles du système nerveux, ou des perturbations observées chez des animaux à proximité d'antennes 5G.
Antoine Béchamp, biologiste du 19ème siècle, a proposé une théorie selon laquelle les microzymas – de petites entités vivantes dans les organismes – seraient à l'origine des maladies, en opposition au modèle pasteurien des germes. Cette perspective, reprise par des chercheurs comme Dr. Scohy, offre un regard alternatif mais reste marginalisée dans la science moderne.
Alors que les théories comme celles de Dr. Cowan sont classées comme "fake news" par les autorités, il n’existe pas encore d’étude définitive confirmant ou réfutant totalement les effets des ondes, notamment celles de la 5G, sur la santé humaine ou la propagation de virus. Ce débat met en lumière le besoin de recherches approfondies sur les impacts des technologies modernes sur les écosystèmes biologiques.
La question demeure : les ondes électromagnétiques, et en particulier la 5G, jouent-elles un rôle dans les grandes crises sanitaires comme l’épidémie de COVID-19 ? Si les preuves actuelles ne soutiennent pas cette hypothèse, elles soulignent toutefois l'importance de continuer à explorer ces interactions complexes.
La « grippe espagnole » de 1918, souvent évoquée pour souligner la menace d'une nouvelle pandémie, est considérée comme l'une des plus meurtrières de l'histoire avec un bilan estimé entre 20 et 100 millions de morts. Mais les sources historiques confirment-elles qu’un virus en est la cause principale ? Certains critiques avancent que les décès pourraient être liés aux campagnes de vaccination de masse de l’époque.
Le terme « grippe espagnole » provient des premiers rapports en Espagne sur une grave épidémie en 1918. La maladie a frappé principalement les jeunes adultes en bonne santé, notamment les soldats, avec des symptômes variés et parfois inexplicables. Selon des tests réalisés à Boston et San Francisco, la maladie n'était pas contagieuse : « Aucun des marins ou prisonniers exposés à des sécrétions de malades n’a contracté la maladie. »
Plusieurs témoignages de l’époque, tels que ceux du Christian Science Monitor ou de l’auteure Eleanora McBean, affirment que les décès étaient majoritairement observés chez les personnes vaccinées. Les soldats avaient été massivement immunisés contre la variole, la fièvre typhoïde et même la grippe elle-même, mais des effets secondaires graves auraient été attribués à ces vaccins expérimentaux. « Les horribles effets secondaires dus à des vaccins peu fiables ont été dissimulés et justifiés par la grippe espagnole. »
Aujourd’hui encore, la référence à cette pandémie est utilisée pour inciter à la vaccination en masse. Toutefois, des recherches suggèrent que ces vaccinations ont pu jouer un rôle déterminant dans les décès liés à la grippe espagnole. Comme l'indiquent les chercheurs critiques, il est essentiel de se renseigner pour éviter de céder à la panique : « Ceux qui s’informent sont immunisés contre la panique dirigée par des intérêts ! »
Lien Vidéo > Le site de Xavier Poussard et son livre
