Grippe espagnole : des morts en masse dues aux vaccinations de masse ?
La « grippe espagnole » de 1918, souvent évoquée pour souligner la menace d'une nouvelle pandémie, est considérée comme l'une des plus meurtrières de l'histoire avec un bilan estimé entre 20 et 100 millions de morts. Mais les sources historiques confirment-elles qu’un virus en est la cause principale ? Certains critiques avancent que les décès pourraient être liés aux campagnes de vaccination de masse de l’époque.
Origine et mystères de la grippe espagnole
Le terme « grippe espagnole » provient des premiers rapports en Espagne sur une grave épidémie en 1918. La maladie a frappé principalement les jeunes adultes en bonne santé, notamment les soldats, avec des symptômes variés et parfois inexplicables. Selon des tests réalisés à Boston et San Francisco, la maladie n'était pas contagieuse :
« Aucun des marins ou prisonniers exposés à des sécrétions de malades n’a contracté la maladie. »
Un rôle clé des campagnes de vaccination
Plusieurs témoignages de l’époque, tels que ceux du Christian Science Monitor ou de l’auteure Eleanora McBean, affirment que les décès étaient majoritairement observés chez les personnes vaccinées. Les soldats avaient été massivement immunisés contre la variole, la fièvre typhoïde et même la grippe elle-même, mais des effets secondaires graves auraient été attribués à ces vaccins expérimentaux.
« Les horribles effets secondaires dus à des vaccins peu fiables ont été dissimulés et justifiés par la grippe espagnole. »
Conclusion et avertissements
Aujourd’hui encore, la référence à cette pandémie est utilisée pour inciter à la vaccination en masse. Toutefois, des recherches suggèrent que ces vaccinations ont pu jouer un rôle déterminant dans les décès liés à la grippe espagnole. Comme l'indiquent les chercheurs critiques, il est essentiel de se renseigner pour éviter de céder à la panique :
« Ceux qui s’informent sont immunisés contre la panique dirigée par des intérêts ! »
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