L'histoire de la colonisation des Etats-Unis nous apprend qu'à l'arrivée des colons européens, il n'y avait « rien » d'autre que des Amérindiens. Cependant, au-delà de ce récit officiel, une question persiste : comment des bâtiments gigantesques ont-ils vu le jour à travers l'Ouest, alors que la technologie de l'époque semble insuffisante pour de telles réalisations ? Lire la suite
Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole et pauvre. Aujourd’hui, elle est une puissance économique et militaire majeure. Cette ascension rapide est liée, selon certains journalistes d’investigation, à des acteurs comme les Rothschild, Rockefeller et l'organisation secrète Skull & Bones.
Skull & Bones, fondée par les Rothschild et financée par les Rockefeller, a infiltré les grandes institutions américaines. Cette élite vise un « nouvel ordre mondial » où le pouvoir est concentré entre les mains de quelques-uns.
Au début du 20e siècle, Skull & Bones a créé des écoles en Chine via l’association Yale-in-China, financée par Rothschild et Rockefeller. Selon le Yale Daily News, « sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l'inconnu au pouvoir ».
Durant la guerre civile chinoise (1927-1949), le général américain George C. Marshall, lié à Skull & Bones, a cessé d’armer le Kuomintang, favorisant ainsi la victoire des communistes.
Les presque 30 années de règne de Mao Tsé-toung ont été marquées par une terreur sans précédent. Avec des campagnes telles que le « Grand Bond en avant » et la « Révolution culturelle », Mao a imposé une transformation forcée de la société chinoise. La « Révolution culturelle » visait à détruire les anciennes coutumes et modes de pensée, coûtant la vie à 2 à 5 millions de personnes.
Le « Grand Bond en avant » devait moderniser la Chine pour rivaliser avec les nations industrialisées. Malgré une grande famine, Mao a maintenu ses objectifs avec une brutalité extrême. Selon le journaliste Alexander Schnarf, des milliers de personnes furent torturées et assassinées. L’historien Frank Dikötter estime que la famine (1959-1961) a causé au moins 45 millions de morts.
La politique de Mao était simple : toute opposition était éliminée, muselant ainsi la société chinoise. David Rockefeller a pourtant qualifié cette oppression d’« expérience sociale », déclarant : « L’expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l'une des plus importantes et des plus réussies de l’histoire de l’humanité ». Cela révèle les objectifs cachés des fondations Rockefeller, qui considéraient la Chine comme un laboratoire pour le contrôle social.
Après Mao, Deng Xiaoping a dirigé la Chine jusqu’en 1997. L’ascension économique de la Chine a été amorcée par la rencontre de 1972 entre Nixon et Mao, orchestrée par Henry Kissinger, membre du CFR et allié des Rothschild et Rockefeller. Cet accord a permis un afflux massif d'argent et de technologies occidentales en Chine.
En 1982, les Rothschild ont pris le contrôle de la banque centrale chinoise, tandis que la Chase Manhattan Bank de Rockefeller représentait la Banque de Chine aux États-Unis. Des multinationales comme Ford, General Motors, IBM et Microsoft, liées au CFR, ont participé à cette expansion économique.
Le professeur Antony C. Sutton écrivait déjà en 1986 : « Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une superpuissance construite avec la technologie et l’expertise américaines ».
Deng Xiaoping et ses successeurs, dont Xi Jinping, sont liés aux super-loges maçonniques comme « THREE EYES », fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger. Ces élites œuvrent à l’établissement d’un « gouvernement mondial unique ». Ainsi, la Chine reste un outil fiable pour les plans mondialistes des Rothschild et des Rockefeller.
Mais la Chine n'est pas seulement un outil quelconque. Elle est devenue le fer de lance des Rothschild, Rockefeller et de Skull & Bones, qui aspirent à un nouvel ordre mondial de contrôle et de surveillance totaux. En voici quelques exemples :
Le premier système de crédit social en Europe a déjà été introduit à Bologne (Italie), et la Commission européenne prépare également son implantation.
Toutes ces actions montrent clairement qu’après le succès de leur « expérience sociale » en Chine, les Rockefeller, Rothschild et consorts souhaitent désormais étendre ce modèle au monde entier, jetant ainsi les bases d'une dictature mondiale. Lors du Davos d'été 2023 du Forum Économique Mondial, le Premier ministre chinois Li Qiang a déclaré que la « sécurité » devait devenir la priorité absolue.
Dans ce documentaire en deux parties, Benjamin Tremblay et l'équipe de 7 jours sur Terre explorent en profondeur l'un des récits les plus tabous en politique internationale, soit l'histoire incroyable de Mouammar Kadhafi.
C'est un récit aussi choquant que véridique. Une histoire de pétrole, d'argent, de corruption et de secrets d'État.
Grâce à des courriels de Hillary Clinton rendus publics sur Wikileaks, il est désormais possible de mieux comprendre l'histoire incroyable de Mouammar Kadhafi ainsi que les motivations réelles de l'intervention en Libye.
Il voulait unir l'Afrique, unir les pays arabes, et bousculer le système mondial. Plutôt, il est devenu l'ennemi numéro un.
L'industrie pharmaceutique a vu le jour au 19ème siècle avec la production de médicaments à base de plantes et d'autres substances naturelles. Cependant, au 20ème siècle, l'utilisation de produits chimiques de synthèse, en particulier ceux dérivés du pétrole, a commencé à dominer.
De nombreux médicaments modernes sont fabriqués à partir de produits pétrochimiques. Ces substances dérivées du pétrole brut sont essentielles non seulement pour les ingrédients actifs des médicaments, mais aussi pour les excipients utilisés dans les comprimés et capsules. Elles servent également à fabriquer des équipements de laboratoire et des emballages pharmaceutiques.
Au début du développement des médicaments à base de pétrole, plusieurs risques pour la santé sont apparus. Par exemple, dans les années 1920 et 1930, le radium était utilisé pour traiter diverses maladies. Cependant, il a été découvert plus tard que le radium provoquait le cancer et d'autres maladies graves.
Une autre préoccupation majeure était liée aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Ces substances, présentes dans certains médicaments, sont aussi une source importante de pollution. Les HAP ont été associés à un risque accru de cancer, particulièrement chez les travailleurs de l'industrie pharmaceutique et les patients.
En réponse, les autorités ont imposé des régulations strictes pour limiter l'utilisation des HAP et améliorer le contrôle qualité des médicaments.
Certains médicaments fabriqués à partir de dérivés pétrochimiques peuvent entraîner une dépendance. Par exemple, les opioïdes, utilisés pour soulager la douleur, sont connus pour leur potentiel addictif. De même, des médicaments comme les benzodiazépines, utilisés pour traiter l'anxiété, peuvent causer une dépendance physique et psychologique en cas d'utilisation prolongée.
Fondée en 1847, l'Association médicale américaine (AMA) a joué un rôle clé dans la promotion de la médecine moderne basée sur des médicaments synthétiques. Avec le soutien de personnalités comme John D. Rockefeller, l'AMA a favorisé les traitements allopathiques au détriment des médecines naturelles.
Cette tendance s'est renforcée dans les années 1930, lorsque l'AMA a fait pression pour réglementer et marginaliser les traitements alternatifs, menant à une domination des médicaments synthétiques dans la pratique médicale.
Malgré cela, la médecine conventionnelle a permis des avancées majeures dans le traitement de nombreuses maladies. Aujourd'hui, un intérêt croissant pour les médecines alternatives pousse certains patients à compléter ou remplacer les traitements conventionnels par des remèdes naturels.
Révélations sur le 11 septembre - L'Enquête incroyable - Documentaire complet de Laurent Guyenot
Il était une fois le Falun Dafa - Doc NTD français
C'est l'une des questions les plus fréquemment posées. Vous avez peut-être vu le mot "Dafa" mentionné dans une chanson de Shen Yun, ou assisté à une danse narrative sur la persécution des adeptes du Falun Dafa en Chine, et vous aimeriez en savoir plus. Vous avez peut-être aussi entendu ou lu quelque part que les interprètes de Shen Yun pratiquaient ensemble la méditation du Falun Dafa.
Qu'est-ce que le Falun Dafa ?
Le Falun Dafa est également connu sous le nom de Falun Gong. C’est une discipline de méditation spirituelle, mais cette vidéo parlera surtout de la persécution de ces adeptes dans l’histoire et de ce qui en reste...
Il existe des livres qui marquent profondément notre existence, des ouvrages que nous revenons constamment revisiter, touchant la couverture, relisant des passages favoris, et partageant inlassablement les réflexions de l'auteur avec notre entourage. Pour moi, l’ouvrage-thèse d’Ignacio Olagüe est l’un de ces livres « tératologiques » qui peut bouleverser la vie d’un étudiant en Histoire.
Découvert en 1999 grâce à une note en bas de page dans l'ouvrage de Roger Garaudy « Promesses de l’Islam », ce livre a ouvert une porte vers une vision alternative de l’Histoire, loin de la version officielle souvent enseignée dans les universités. Les étudiants, formatés par un système académique rigide, sont souvent réticents à explorer des œuvres qui remettent en question cette Histoire officielle, craignant de remettre en cause la légitimité et la qualité de leurs études. Cependant, certains livres, comme ceux d'Olagüe, se révèlent être des lectures « dangereuses » qui peuvent briser cette jolie vitrine de l'académie et susciter un véritable cas de conscience.
Ignacio Olagüe, historien basque, est l’un des auteurs les plus controversés dans les cercles académiques franco-espagnols. Son approche méthodologique, qui met en avant des thèses audacieuses, comme celle de son livre « La révolution islamique en Occident », continue de faire débat. Paru en 1974, cet ouvrage propose une réévaluation radicale des évènements historiques ayant conduit à l'islamisation de l'Espagne et du sud de la France, affirmant que ce processus ne fut pas le résultat d'invasions militaires rapides, mais d'une longue évolution sociale et religieuse. Olagüe suggère que cette transformation fut grandement influencée par une crise interne au christianisme et par des changements climatiques.
Cette perspective, qui diverge de la version communément acceptée, a suscité de vives réactions parmi les historiens, certains allant jusqu'à qualifier Olagüe de « négationniste » ou de « fasciste ». Pourtant, son travail reste un exemple frappant de la manière dont l'Histoire peut être réinterprétée, provoquant une réflexion profonde sur les véritables forces qui façonnent le cours des événements.
Pour quiconque cherche à comprendre l'Histoire avec un regard neuf, les ouvrages d'Ignacio Olagüe, tels que « La decadencia española » et « La révolution islamique en Occident », sont incontournables. Ils incitent à questionner les récits traditionnels et à envisager l’Histoire sous un angle plus critique et ouvert. C'est un rappel puissant que l'Histoire n'est pas seulement une série d'événements figés dans le temps, mais une discipline vivante, en constante réévaluation et débat.
Ignacio Olagüe, dans son ouvrage controversé "La Révolution islamique en Occident" (1974), soutient que l'Espagne n'a pas été conquise par les Arabes de manière traditionnelle, remettant en question la version largement acceptée d'une invasion militaire rapide. Selon Olagüe, ce qui est souvent décrit comme une conquête éclaire de la péninsule Ibérique au VIIIe siècle est en réalité un processus complexe et graduel de transformation sociale et religieuse. Il affirme que les populations locales, déjà influencées par des tensions religieuses internes, ont progressivement adopté l'Islam, non pas par contrainte militaire, mais en réponse à des dynamiques internes, notamment les conflits religieux entre chrétiens catholiques et ariens.
De plus, Olagüe souligne l'importance des facteurs sociaux et climatiques, qui auraient favorisé une transition plus naturelle vers la civilisation islamique. Cette thèse, bien qu'innovante, a été largement critiquée pour son révisionnisme, mais elle a aussi stimulé un débat sur la manière dont l'histoire est écrite, en mettant en lumière les nuances et les complexités souvent négligées dans les récits traditionnels.
Le 22 janvier 1897, une date gravée dans l’histoire coloniale, les collines sud-africaines furent témoins d'une défaite cinglante des troupes britanniques face à l'armée zouloue. Lors de la bataille d’Isandlwana, environ 20 000 guerriers Amabutho, armés de lances, écrasèrent en quelques heures un régiment britannique de tuniques rouges équipées de fusils, infligeant ainsi l'une des défaites les plus humiliantes à une armée coloniale.
Cette victoire, célébrée par le roi Misuzulu et son peuple, symbolise un moment de résistance face à la domination impériale. Dirigée par le charismatique roi Cetshwayo, l'armée zouloue, utilisant la tactique militaire de la tête de bœuf, a pris de flanc les Britanniques avant de les achever dans une attaque frontale dévastatrice.
Le bilan de cette bataille fut lourd pour les Anglais, avec plus de 1 300 morts, tandis que pour les Zoulous, ce fut un jour de gloire inégalée. Cependant, ce triomphe fut éphémère, car dès le lendemain, les Britanniques reprirent l’avantage, amorçant une série de défaites qui conduiront à la chute du royaume zoulou. Malgré cela, la bataille d’Isandlwana demeure un symbole puissant, illustrant une victoire improbable des lances contre les fusils, et un chapitre mémorable dans l’histoire de la résistance contre l'impérialisme.
un extrait d'une adaptation au cinéma:
Ce voyage a marqué un tournant dans les relations du Canada avec Cuba, mais Margaret Trudeau se souvient de ce voyage historique comme d'un voyage au cours duquel un dictateur a fondu à la vue de son jeune bébé.
Fidel Castro a été immédiatement séduit par Michel, âgé de quatre mois, lorsqu'il est arrivé avec ses parents en 1976, se souvient Margaret Trudeau.
Sur certaines photos du voyage de Pierre Trudeau à Cuba en 1976, suivi de près, avec Margaret et Michel, âgé de quatre mois, Fidel Castro avait une tache révélatrice sur le devant de son uniforme, se souvient-elle en riant.
Fidel Castro a clairement indiqué dans son discours d’ouverture que les parents étaient importants, mais pas autant que le bébé. Sur certaines photos, Fidel avait une grosse tache de salive humide sur son uniforme parce qu’il était venu plus tôt pour câliner le bébé.
Trente-huit ans après ce voyage, Trudeau dit qu'elle célèbre le dégel des relations américano-cubaines avec le peuple cubain, un mouvement qui a été facilité par des réunions secrètes tenues à Ottawa.
Elle se souvient de Castro lors de cette visite comme d’un « homme très chaleureux et charmant, je l’appréciais ».
Elle savait cependant que la situation politique de son mari n’était pas facile. « C’était un régime difficile, avec de nombreux problèmes de droits de l’homme qui étaient urgents et difficiles pour nous », a-t-elle déclaré, ajoutant que le changement dans les relations entre les États-Unis et Cuba ouvrait la voie aux Cubains pour qu’ils puissent réaliser leur potentiel.
Le président américain Barack Obama a annoncé mercredi l'ouverture d'un nouveau chapitre dans les relations diplomatiques entre les Etats-Unis et Cuba, avec le début d'une normalisation après un demi-siècle de blocus commercial et d'absence de relations diplomatiques. La révolution communiste de Castro, l'invasion de la Baie des Cochons et la crise des missiles de Cuba, considérée comme la plus proche confrontation avec une guerre nucléaire au monde, ont mis un terme aux relations entre les deux pays pendant la Guerre froide.
L'annonce a été accueillie avec joie par de nombreux Cubains qui luttent pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille malgré les privations que leur gouvernement attribue au blocus économique.
Les relations du Canada avec Cuba ont suivi une voie différente, parfois controversée, menée par le premier ministre de l'époque, Trudeau, lors de sa visite en 1976.
Margaret Trudeau se tient avec le bébé Michel à côté de Fidel Castro et de Pierre Trudeau lors de la cérémonie de départ à La Havane à la fin de la visite d'État des Trudeau à Cuba en 1976.
Ce voyage a ouvert la voie à des partenariats entre les deux pays dans le domaine de l'agriculture et dans d'autres domaines, ainsi qu'à des liens étroits et durables dans le domaine du tourisme. Près d'un million de touristes canadiens visitent Cuba chaque année.
C'est aussi le début d'une amitié qui durera toute une vie entre Pierre Trudeau et Castro, qui a fait un voyage sans précédent à Montréal en 2000 pour assister aux funérailles de l'ancien premier ministre, bien que fragile et malade. Margaret Trudeau a déclaré qu'elle avait rendu visite à Castro à son hôtel avant les funérailles pour l'accueillir au nom de la famille.
Le dictateur cubain aimait toujours le plus jeune fils des Trudeau, qui l'avait charmé lorsqu'il était bébé. Castro était en larmes, a déclaré Trudeau, lorsqu'il a appris la mort de Michel en 1998 dans une avalanche en Colombie-Britannique.
Trudeau a déclaré que Castro avait voulu qu'ils renvoient Michel à Cuba quand il avait sept ans pour participer à un camp de pionniers pour enfants, ce à quoi la famille taquinait souvent Michel.
« C'était très gentil de sa part », a-t-elle déclaré à propos de l'offre de Castro. « Il était très fier de ce qu'il faisait pour aider leurs enfants à devenir des citoyens forts. »
Pierre et Margaret Trudeau ont visité des garderies, des écoles et des hôpitaux avec Castro lors de leur passage sur l'île. Castro leur a expliqué que sa préoccupation était d'offrir aux gens une éducation et de les aider à sortir de la pauvreté.
Trudeau a déclaré qu'elle était tombée amoureuse de Cuba lors de ce voyage.
« Quel endroit fabuleux, les gens sont pleins de vie, de musique et heureux malgré les moments très difficiles. Certains d’entre eux ont quatre emplois pour subvenir aux besoins de leur famille. Ce sont des gens merveilleux et je pense que c’est une opportunité pour eux d’évoluer comme ils le souhaitent. »
Trudeau a déclaré que le changement social observé à Cuba était considérable, mais que le régime était également « extraordinairement répressif ».
« J’espère que c’est fini pour le peuple cubain. »
Il est intéressant de noter que même Donald Trump a fait allusion à la possibilité que Justin Trudeau soit le fils de Fidel Castro, dans son livre Save America. Il a mentionné que Margaret Trudeau, la mère de Justin Trudeau, avait entretenu des relations très proches avec le leader cubain, suggérant ainsi que cette connexion pourrait expliquer la forte affinité entre la famille Trudeau et Castro.
Lien Vidéo > Le site de Xavier Poussard et son livre
