31/03/2023

L’homme dans l’espace : Vérités cachées et supercheries dévoilées

L'homme va-t-il dans l'espace ? Découvrez une compilation des plus belles boulettes de la NASA !

Dans cette vidéo, explorez des erreurs surprenantes de la NASA : montages amateurs, oublis et autres ratés. Cette compilation aiguisera votre esprit critique sur ce que l'on nous dit au sujet de l'espace.

N'oublions pas que cette industrie coûte des milliards d'euros et de dollars aux contribuables.

L'homme va-t-il dans l'espace : Pour aller plus loin...

Quand Stanley Kubrick avoue la supercherie de l'homme sur la Lune

Stanley Kubrick est un réalisateur, photographe, scénariste et producteur américain, né le 26 juillet 1928 à Manhattan et mort le 7 mars 1999 dans son manoir au nord de Londres. Il est notamment connu pour des films comme "2001, l'Odyssée de l'espace".

Tournage pour un alunissage

C'est peut-être la vidéo d'un autre tournage, qui sait ? Mais en même temps, nous comptons sur qui exactement pour nous dire la vérité ? En attendant un vrai jugement, il est légitime de penser que nous pouvons être **manipulés** à tout moment.

Lien vidéo - chaîne "Wake up"

Le Burkina Faso suspend France 24 pour "légitimation du terrorisme"

 Le 27 mars, le gouvernement du Burkina Faso a annoncé la suspension immédiate de la diffusion de France 24 sur son territoire, à la suite d'une interview controversée du chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Abou Obeida Youssef al-Annabi, diffusée par la chaîne d'informations française. Le gouvernement burkinabè, par l'intermédiaire de son porte-parole Jean-Emmanuel Ouedraogo, a condamné cette interview, la qualifiant de « légitimation des actions terroristes et des discours de haine » et accusant France 24 de servir d'« agence de communication » pour des organisations terroristes.


Cette décision s'inscrit dans un contexte de tensions croissantes entre le Burkina Faso et la France, exacerbées par la détérioration des relations bilatérales depuis l'arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, à la suite d'un coup d'État en septembre 2022. Le gouvernement burkinabè, déterminé à diversifier ses partenariats internationaux pour lutter contre le terrorisme, a multiplié les mesures symboliques et diplomatiques, notamment en exigeant le départ de la force française Sabre en janvier 2023 et en dénonçant un accord d'assistance militaire datant de 1961.


La diffusion, le 6 mars, des réponses écrites du chef d'AQMI à une série de questions posées par Wassim Nasr, journaliste de France 24 spécialisé dans les questions djihadistes, a été perçue par les autorités burkinabè comme une provocation, d'autant plus que le Burkina Faso est en proie à une recrudescence des attaques djihadistes depuis 2015. Ces violences, perpétrées par des groupes affiliés à Daesh et à Al-Qaïda, ont causé la mort de 10 000 personnes et déplacé environ deux millions de personnes, selon les estimations des ONG.


Le gouvernement burkinabè avait déjà suspendu, en décembre 2022, la diffusion de Radio France Internationale (RFI), qui appartient au même groupe que France 24, France Médias Monde. RFI avait été accusée d'avoir relayé un « message d’intimidation » attribué à un chef terroriste.


En réaction à la suspension de sa diffusion, France 24 a fermement rejeté les accusations du gouvernement burkinabè, dénonçant des propos « outranciers et diffamatoires » et réaffirmant son engagement en faveur de la liberté d'informer et du professionnalisme de ses journalistes. La chaîne a également souligné son indépendance éditoriale et son attachement à une information équilibrée et rigoureuse.


Cette suspension de France 24 au Burkina Faso s'ajoute à celle déjà en vigueur au Mali, illustrant un durcissement des relations entre certains pays d'Afrique de l'Ouest et les médias français, dans un contexte de lutte acharnée contre les groupes djihadistes et de réévaluation des alliances internationales.



30/03/2023

Les manipulations américaines à l'origine de la crise énergétique mondiale


Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février 2022, l'Union Européenne a su gérer avec résilience la crise énergétique. Toutefois, la préparation pour l’hiver 2023-2024 exige de remplir les installations de stockage de gaz à 90% d’ici le 1er octobre 2023. Le think-tank Bruegel souligne la nécessité d’accélérer cette préparation, mais aussi la complexité accrue de la situation énergétique européenne.

Les analystes de Bruegel notent que la baisse de la demande de gaz en Europe est partiellement due à la désindustrialisation du continent, les industries énergivores se déplaçant vers les États-Unis. La forte demande pour le gaz naturel liquéfié (GNL), principalement américain, a conduit les pays européens à accumuler des dettes importantes tout en augmentant leurs coûts énergétiques. Ce phénomène a aussi des répercussions globales : les pays les plus pauvres souffrent de pénuries et de pannes prolongées en raison de la compétition accrue pour le GNL.

L’accent mis par les Européens sur l’achat de GNL américain, en réponse à la réduction des flux de gaz russes, n’a pas permis de réduire efficacement la dépendance énergétique envers la Russie. Les chiffres montrent que, malgré une diminution par rapport à 2021, la Russie reste un des principaux fournisseurs de gaz de l’UE. Le manque de diversification a laissé l'Europe vulnérable aux fluctuations du marché mondial.

Derrière cette crise se profile un acteur majeur : BlackRock. Le fonds d’investissement américain a promu une transition vers des énergies renouvelables, affirmant que l’investissement doit se diriger vers un avenir "vert". En janvier 2020, Larry Fink, président de BlackRock, a publié une lettre prônant un changement radical vers des investissements durables, alignés avec les risques climatiques. Cette stratégie a encouragé une réallocation du capital, souvent au détriment des énergies fossiles.

BlackRock a également joué un rôle clé dans le financement de projets d’énergie verte, en investissant dans des entreprises telles que BayWa r.e. et Neoen, ainsi que dans NextEra Energy, un leader mondial dans le secteur des énergies renouvelables. Ces investissements, soutenus par de grandes banques et fonds d’investissement américains, soulignent une volonté stratégique d’influencer le marché énergétique global.

Les critiques affirment que cette crise énergétique mondiale n’est pas seulement le résultat des sanctions contre la Russie, mais aussi d’une réorientation des politiques énergétiques et économiques dictées par des intérêts financiers puissants. William Engdahl, analyste américain, suggère que la crise est le produit d'une stratégie planifiée visant à démanteler l'économie industrielle au profit d’un agenda écologique radical.

Les liens entre les politiques énergétiques et les grandes entreprises financières sont aussi mis en lumière par des médias tels que France Info, qui ont documenté les interactions entre Larry Fink et des dirigeants politiques comme Emmanuel Macron. Ces relations soulignent l’influence croissante des fonds d’investissement dans les politiques publiques et la manière dont ils façonnent les stratégies économiques globales.

Alors que l'Europe continue de faire face à des défis énergétiques importants, la crise actuelle semble refléter une complexité plus profonde, où les stratégies financières et politiques s’entrelacent pour remodeler l’ordre économique mondial. La question demeure : jusqu'où ces dynamiques influenceront-elles l'avenir énergétique et économique global ?

20/03/2023

11 septembre - l'enquête incroyable

Révélations sur le 11 septembre - L'Enquête incroyable - Documentaire complet de Laurent Guyenot

La 5G - une arme ?

La 5G - une arme ? - Vidéo de Sasha Stone sur kla tv avec l'intervention de Mark Steele

5G : Technologie Innovante ou Arme Cachée ?


La 5G est une technologie de communication mobile de cinquième génération, offrant des vitesses de connexion ultra-rapides et une capacité accrue pour les appareils connectés. Cependant, certains chercheurs et activistes, comme Mark Steele, expriment des préoccupations quant à ses effets potentiels sur la santé humaine, affirmant que le manque de recul scientifique ne permet pas d'évaluer pleinement ses impacts. 

D'après ces critiques, la 5G, initialement développée pour un usage militaire, pourrait être perçue comme une "arme" en raison de ses implications potentielles sur la santé, bien qu'il n'y ait pas de consensus scientifique (avoué au public) sur cette affirmation. La vidéo de Sasha Stone sur kla.tv explore ces préoccupations, soulevant des questions sur les véritables conséquences de cette technologie.



La vraie date de naissance de Jesus ?

Quand est né Jésus ? - Voici une autre vision de l'histoire de Jésus...

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Le Falun Dafa et son oppression

Il était une fois le Falun Dafa - Doc NTD français

C'est l'une des questions les plus fréquemment posées. Vous avez peut-être vu le mot "Dafa" mentionné dans une chanson de Shen Yun, ou assisté à une danse narrative sur la persécution des adeptes du Falun Dafa en Chine, et vous aimeriez en savoir plus. Vous avez peut-être aussi entendu ou lu quelque part que les interprètes de Shen Yun pratiquaient ensemble la méditation du Falun Dafa.

Qu'est-ce que le Falun Dafa ?

Le Falun Dafa est également connu sous le nom de Falun Gong. C’est une discipline de méditation spirituelle, mais cette vidéo parlera surtout de la persécution de ces adeptes dans l’histoire et de ce qui en reste...

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La véritable date de naissance de Jésus ?

L'Eglise admet que le 25 décembre n'est pas le jour de naissance du messie mais une date traditionnelle. Mais quand Jésus est-il né ? - Ce documentaire n'est pas à prendre pour une vérité absolue mais il va falloir avouer qu'il comporte des éléments troublants. Cette vidéo ne vous fera pas perdre la foi, bien au contraire ! Voici une autre version de l'histoire de Jésus...



19/03/2023

La Voiture Électrique : Révolution Inévitable ou Défi Insurmontable ?

L'Union Européenne a pris une décision radicale pour lutter contre le changement climatique : à partir de 2035, la vente de voitures neuves à moteur thermique (essence, diesel, gaz, y compris les hybrides) sera interdite. Cette mesure vise à réduire drastiquement les émissions de CO2, responsables du réchauffement climatique. 



Dans ce contexte, la voiture électrique s'impose comme la solution incontournable. Cependant, la question qui se pose n'est plus de savoir si ce choix est le bon, mais plutôt de déterminer s'il est réellement réalisable. 

 Les voitures électriques sont-elles réellement plus écologiques que leurs homologues thermiques ? Notre production d'électricité et les infrastructures de réseau pourront-elles supporter la demande croissante ?

 Qu'en est-il du déploiement des bornes de recharge : seront-elles suffisamment nombreuses et accessibles? Les innovations technologiques permettront-elles des temps de recharge plus courts et une autonomie accrue des véhicules ? 

Et, finalement, ces voitures seront-elles financièrement accessibles au plus grand nombre ? Ces questions sont au cœur du débat sur l'avenir de la mobilité en Europe et sur la faisabilité de cette révolution énergétique.


Privatisation des autoroutes françaises (bradées)

Retour sur le scandale des autoroutes françaises - Blast revient sur ces politiciens qui vendent la France bout par bout. Cette fois-ci, il s'agit des exploitations d'autoroutes à prix d'ami...


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13/03/2023

Géorgie : Entre Russie et Pressions de l'OTAN



Dans cet article, l'historien allemand Hermann Ploppa analyse les émeutes récentes en Géorgie et présente leur contexte historique et politique. Il rappelle les événements de 2008, où l'ex-président géorgien Saakashvili, soutenu par l'OTAN, tenta de reprendre les régions de la Sud-Ossétie et de l'Abkhazie, mais fut repoussé par la Russie. Ce revers affaiblit Saakashvili, et permit plus tard à Bidsina Ivanishvili, un oligarque géorgien ayant fait fortune en Russie, de s'imposer sur la scène politique géorgienne. Ivanishvili, souvent perçu comme un homme d’affaires éthique, investit une partie de sa fortune dans le bien public et créa le parti Rêve géorgien, qui mena à la défaite électorale de Saakashvili en 2012.

Le gouvernement Rêve géorgien, brièvement dirigé par Ivanishvili, mit en place des réformes sociales modérées et chercha un équilibre en politique étrangère. Il tenta de garder de bonnes relations avec la Russie tout en affichant une volonté d'intégration dans l’Union européenne et l’OTAN. Cependant, cette position est mal vue par les partisans d’une ligne dure contre la Russie, en particulier dans le contexte de la guerre en Ukraine. Selon Ploppa, les puissances occidentales et leurs alliés souhaitent voir la Géorgie renforcer une « tenaille » autour de la Russie en s’alignant militairement contre elle.

Ivanishvili est devenu une cible directe des critiques européennes. En 2022, le Parlement européen a voté une résolution dénonçant sa supposée influence pro-russe et demandant des sanctions contre lui. Parallèlement, Ivanishvili est impliqué dans un différend financier avec la banque Credit Suisse, qui a retenu certains de ses fonds. Des rumeurs non confirmées suggèrent que l’ambassadeur américain en Géorgie lui aurait proposé de débloquer ses fonds à condition que la Géorgie soutienne l'Ukraine militairement, ce qu'Ivanishvili aurait refusé.

Le parti Rêve géorgien a également perdu en popularité en négligeant de maintenir des liens étroits avec sa base. De plus, sa décision de nommer Salomé Zourabachvili comme présidente en 2018 est vue comme une erreur, car elle a récemment exprimé publiquement son soutien aux manifestants géorgiens, contribuant ainsi à une fracture interne au sein du gouvernement.

En somme, Ploppa dépeint une situation complexe où la politique géorgienne est tiraillée entre l'influence de la Russie et les pressions occidentales pour un alignement total contre cette dernière, ce qui intensifie les tensions internes et externes en Géorgie.


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07/03/2023

La Reconstruction de Marioupol par la Russie


La ville de Marioupol, autrefois un centre industriel prospère situé dans la région du Donbass, a été presque entièrement détruite lors des combats intenses du printemps 2022, au cours de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Aujourd'hui, Marioupol se retrouve au cœur d'un vaste projet de reconstruction entrepris par les forces armées russes, un symbole des efforts de Moscou pour redéfinir cette région sous son contrôle.

Le Contexte des Combats

La bataille pour Marioupol a été l'un des épisodes les plus violents du conflit russo-ukrainien. Encerclée par l'armée russe dès le 7 mars 2022, la ville a été le théâtre de combats acharnés entre les forces russes et ukrainiennes, notamment autour de l'usine Azovstal, devenue un bastion pour les derniers défenseurs ukrainiens. Ce n’est que vers la fin avril que les forces russes ont réussi à prendre le contrôle de la ville, après que plus de 2 000 militaires ukrainiens et combattants nationalistes retranchés dans l'usine ont commencé à se rendre. La prise complète de Marioupol a été officiellement déclarée le 20 mai 2022. Ces affrontements ont laissé la ville dans un état de ruines, avec des infrastructures civiles et industrielles gravement endommagées.

La Reconstruction par la Russie

Suite à la prise de la ville, la Russie a rapidement entrepris des efforts de reconstruction dans le but de rétablir les infrastructures et de revitaliser la région. Selon un communiqué du ministère russe de la Défense, le ministre Sergueï Choïgou, qui se rend régulièrement dans la région, a récemment inspecté l'état d'avancement des travaux de reconstruction à Marioupol. Ces visites soulignent l'importance stratégique et symbolique de la ville pour Moscou, et sa volonté de stabiliser la région après les combats.

Sergueï Choïgou a visité plusieurs sites clés de la ville, dont un nouveau centre médical polyvalent, un centre républicain du ministère des Situations d’urgence, ainsi qu’un quartier résidentiel composé de 12 immeubles à cinq étages, tous construits par des ingénieurs militaires. Les reconstructions se concentrent sur des bâtiments essentiels pour la vie quotidienne des habitants, comme des complexes médicaux et des logements.

Les Projets Futurs

Outre les infrastructures déjà en place, d'autres projets ambitieux sont en cours à Marioupol. Parmi eux, un complexe biomédical sous l'égide de l'Agence fédérale biomédicale russe, ainsi que la construction de six immeubles résidentiels à neuf étages, des écoles et des jardins d'enfants. Ces constructions visent à offrir des conditions de vie adéquates aux habitants de la ville, tout en marquant la présence de la Russie dans cette région historiquement disputée.

Un projet d'infrastructure de grande envergure est également en cours : une conduite d'eau reliant la région russe de Rostov-sur-le-Don à la République populaire de Donetsk (RPD) doit être installée pour approvisionner les villes et villages en eau potable. Ce projet témoigne de la volonté de la Russie d’intégrer pleinement Marioupol dans sa sphère d’influence et de répondre aux besoins de la population locale.

Un Refonte Stratégique et Symbolique

Pour Moscou, la reconstruction de Marioupol revêt une dimension hautement symbolique. La ville, largement médiatisée durant les combats, est devenue un symbole des souffrances infligées par la guerre, mais aussi un lieu où la Russie entend démontrer sa capacité à restaurer l'ordre et à reconstruire les zones qu'elle contrôle. Ces efforts sont aussi destinés à montrer la volonté du Kremlin de rétablir la normalité dans une région marquée par les destructions massives, malgré les sanctions internationales et la condamnation générale de l'Occident.

La reconstruction de Marioupol est un enjeu majeur pour la Russie, tant sur le plan pratique que symbolique. Elle vise non seulement à réparer les dégâts de la guerre, mais aussi à ancrer durablement l'influence russe dans cette ville stratégique du Donbass. Cependant, les efforts de reconstruction interviennent dans un contexte international tendu, où la communauté internationale reste largement opposée à l'annexion de cette partie de l'Ukraine par la Russie. La situation reste donc évolutive, et l'avenir de Marioupol dépendra en grande partie des dynamiques géopolitiques et militaires à venir dans la région.

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05/03/2023

Sabotage des Gazoducs Nord Stream : Les Révélations de Seymour Hersh

La question de l'auteur du sabotage des gazoducs Nord Stream continue d’alimenter le débat. Six mois après les explosions, aucune réponse officielle n’a encore été donnée. Cependant, le journaliste américain Seymour Hersh a publié une enquête détaillant l’organisation de ce sabotage et les raisons qui auraient motivé ses auteurs présumés.

Les États-Unis et la Crainte des Sanctions contre la Russie

Selon Hersh, les États-Unis auraient pris la décision de faire exploser les gazoducs Nord Stream par peur que l’Allemagne ne se retire du régime de sanctions contre la Russie. Cette décision aurait été prise directement par le Président américain Joe Biden, comme l’a rapporté Hersh au journal allemand Berliner Zeitung.

Hersh précise que l’une des principales raisons de cette attaque serait la crainte que l’Allemagne reprenne ses importations de gaz via les pipelines Nord Stream avec l’approche de l’hiver. En effet, bien que le fonctionnement du Nord Stream 2 ait été suspendu par l'Allemagne elle-même, les États-Unis craignaient que Berlin ne lève cette suspension en raison du besoin urgent de gaz pendant les mois d'hiver.

« Le fonctionnement du Nord Stream 2 avait été suspendu par l’Allemagne elle-même, et non par des sanctions internationales. Les États-Unis avaient peur que l’Allemagne lève les sanctions à cause du froid de l’hiver », a affirmé Hersh.

Les Détails du Sabotage

Hersh affirme que huit bombes ont été posées sur les gazoducs, mais seulement six d’entre elles ont explosé. Cette défaillance serait due à la longue réflexion de Joe Biden qui a retardé l’opération. Ainsi, les bombes sont restées sous l’eau plus longtemps que prévu, ce qui a entraîné la non-explosion de deux d’entre elles.

En outre, Hersh révèle que la CIA aurait fourni du matériel de plongée, notamment une chambre de décompression, aux plongeurs norvégiens impliqués dans l'opération. Ces plongeurs se seraient entraînés dans des secteurs moins profonds de la mer Baltique, guidés par les autorités norvégiennes.

Une Décision Prévue Bien Avant l'Opération Spéciale

Selon le journaliste, l’idée de détruire les Nord Stream aurait été envisagée bien avant le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine. Dès janvier 2022, cette option aurait été discutée à la Maison Blanche. Deux à trois semaines plus tard, la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland aurait elle-même déclaré que les États-Unis « pouvaient le faire ».

Le 7 février, lors d’une conférence de presse conjointe avec le chancelier allemand Olaf Scholz, Joe Biden a publiquement affirmé que si la Russie attaquait l’Ukraine, il n’y aurait plus de « Nord Stream ». « Nous le ferons. Je promets que nous pouvons le faire », avait alors déclaré le président américain.

La Mise à Exécution de la Décision

La décision de détruire le Nord Stream aurait été concrétisée en septembre 2022. Tout aurait commencé lors des exercices de l’OTAN, appelés Baltops, à l’été 2022. C’est durant ces manœuvres que des plongeurs américains auraient installé des explosifs sur les pipelines.

Hersh rapporte que des explosifs C4 auraient été posés à la fin des exercices, mais que la Maison Blanche serait devenue nerveuse à la dernière minute. Joe Biden aurait alors hésité et donné de nouveaux ordres pour permettre la détonation des bombes à distance, à tout moment.

Les Attaques du 26 septembre 2022

Finalement, les explosions ont eu lieu le 26 septembre 2022, touchant trois des quatre conduites des Nord Stream 1 et 2 qui transportaient du gaz russe vers l’Europe via la mer Baltique. Les explosifs, posés trois mois auparavant par les plongeurs américains, auraient été activés par les Norvégiens, selon Hersh, sous les ordres du président américain Joe Biden.

Pour corroborer ses informations, Hersh indique que des avions de surveillance allemands et américains, comme le P-3 Orion et le P-8 Poseidon, ont effectué des vols réguliers au-dessus des sites des futures explosions entre le 8 et le 16 juin, avant que les attaques ne soient mises à exécution.

Malgré ces révélations, le Pentagone a démenti toute implication des États-Unis dans les explosions des gazoducs Nord Stream.

Source





>>MAJ 03/04/24: voir ici des Révélations sur ce Sabotage du Nord Stream<<




Emmanuel Macron et le mystère Brigitte (interview) - VR

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